Commentaire de Alois Frankenberger
sur Mali, le prix du néo-colonialisme


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Alois Frankenberger Alois Frankenberger 4 novembre 2013 17:31

@ Emile Mourey

Il me semble évident que si on rentre dans la spirale de le vengeance on n’en sortira jamais parce que des gens comme ça trouveront toujours un otage à kidnapper.

Par contre, s’ils savent qu’en cours ou en long il y aura un drône qui leur règlera leur compte à coups de missiles, la grande majorité de ces individus changera de métier et les autres vivront dans l’insécurité.

On a bien vu que d’y aller au sol pouvait tourner au fiasco quand il s’agit de récupérer des otages, soit qu’on perd en plus des soldats , que les ravisseurs tuent leurs otages ou qu’on a fait un massacre de femmes et d’enfants qui gravitaient autour des preneurs d’otages et ces images là feront inmanquablement le tour du monde sur les chaines arabes qui diront qu’une fois de plus les Français sont en croisade contre l’islam.

Les attaquer avec des drônes est la meilleure option pour leur régler leur compte en toute discrétion une fois les otages récupérés et en plus, les traces de l’opération sont très discrètes et les missiles voire les bombes ne permettent pas de remonter la trace de l’opérateur.



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