Au final, cela revient simplement à revenir à une situation normale suite à une situation anormale. Rien, à mon sens, ne justifiait un taux de TVA réduit pour ce genre de prestations.

Ceci étant dit, il est vrai que cela ne devrait en aucun cas empêcher notre gouvernement de s’attaquer enfin à la fiscalité d’une manière globale et cohérente, pour une vraie progressivité de l’imposition, et que l’article des droits de l’homme stipulant que chacun doit contribuer selon ses possibilités et recevoir selon ses besoins soit enfin réellement appliqué dans les faits.