« Mon véritable adversaire [...] c’est le monde de la finance » (22 janvier 2012) restera sans doute l’une des plus cyniques déclarations jamais entendues en campagne électorale !

Parfaitement incompétente pour mener les réformes indispensables, dépourvue du moindre courage politique, c’est l’augmentation massive des impôts des français que la socialie concéda en toute discrétion à cet « adversaire » afin de s’assurer de la bienveillance du « monde de la finance » sans qui le pouvoir eût été hors de portée.

En 2012, alors que certains électeurs votaient pour la blagounette le « changement c’est maintenant », les banquiers sabraient le champagne...

En 2014, la gueule de bois ce sera pour tous les français.