Commentaire de Claude Simon
sur Bâle III : autopsie d'un échec
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Pour résumer,
Les américains, les japonais (surtout eux), les anglo-saxons pratiquent la planche à billets.
Les chinois, les anglais et les irlandais pratiquent le shadow-banking (planche à billets non institutionnel).
L’émission de monnaie sent la tentative d’exploiter autrui, ou d’apaiser afin de réduire certaines hystéries.
On peut se demander comment les dirigeants des banques dorment bien avec de tels ratios.
Quelles solutions proposent l’auteur pour améliorer ces ratios ?
Méthode chypriote, recapitalisation par les banques centrales, laissez-faire, 100% monnaie ?
La conclusion deus ex machina s’apparente plus à une préférence pour l’auto-régulation.