ce qu’il y a de bien avec vous, c’est votre coté prévisible.

bien évidemment, c’est pour vous une « poilade » de considérer que les excréments humains soient remis en terre, ce qui pourtant est d’une logique imparable, puisque nous avons oté de la nourriture au sol, et nous ne saurions pas l’envoyer dans les fleuves, puis dans la mer, vous permettant lorsque vous faites trempette de rencontrer un étron lorsque vous vous baignez...

quand à la lutte contre le co², j’ai indiqué avec des milliers d’autres qu’il n’était pas le problème primordial, le méthane étant 23 fois plus préoccupant.

mais le souci avec vous, c’est que vous lisez entre les lignes...

vous faites même plus fort : vous pensez entre les lignes... donc vous ne pensez pas.

vous avez avalé l’appât avec l’hameçon...comme d’hab.

 

votre petit chapitre sur l’importance de la production peut laisser songeur, car à aucun moment vous ne vous posez la bonne question : la quantité... ou la qualité ?

enfournez autant de « macdo » que vous voulez, mais vous ne m’oterez pas de l’esprit qu’un aliment sain, produit avec respect, ne remplacera jamais la merde innommable que nous proposent les empoisonneurs de l’agriculture industrielle.

 

mais vous, mon petit jo, vous vous amusez à « faire des phrases » (j’ai le curieux sentiment que vous ne cherchez qu’à vous rassurer ?)

je vous laisse vos poulets aux hormones, vos saumons aux pesticides, et les autres merdes que l’on sait... et je me dis que dans le fond, votre carrière se limite depuis longtemps à faire des châteaux de sable... châteaux dont on attend depuis longtemps quelques photos, juste pour vérifier que vous êtes capable de progresser.

le ciel vous tienne en joie.