Commentaire de Roland Verhille
sur Le capitalisme, Thomas Piketty et ses errements


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Roland Verhille Roland Verhille 23 août 2014 13:14

votre 1 : Le partie tronquée dans ma citation est plus précisément exposée à la suite de ma citation.

votre 2 : affirmer ne suffit pas. Les pourcentages avancés par Piketty dans ses comparaisons internationales sont faussés par les différences de montant des erreurs dans la base de calcul des pourcentages ; vous ne semblez pas avoir compris mon explication là dessus.

votre 3 : oui, il n’est pas sans intérêt de comparer l’évolution des revenus du capital avec celle des revenus du travail. Vous ne semblez pas avoir compris ma remarque selon laquelle les revenus du capital sont à leur origine issus des revenus du travail.

votre 4 : Ah bon, vous l’admettez ? Mais vous n’en tirez pas les conséquences.

votre 5 : J’ai tout lu très attentivement, mais alors, qu’est-ce que j’aurais mal lu ou pas lu aux chapitres 9, 10 et 11 ?

votre 6 : votre grossièreté n’est qu’une vue de cartomancienne.

votre demande d’explication : D’abord, c’est aussi seulement une vue de l’esprit d’affirmer que les plus riches rendent encore plus pauvres les plus démunis, à moins de soutenir qu’ils volent les plus pauvres, ou que ceux qui ont plus que les plus pauvres doivent leur distribuer leur « surplus ».

Et encore, tout un chacun a le droit d’augmenter sans cesse ses revenus, et c’est d’ailleurs ce qu’essaient de faire la plupart des gens. Tant l’économie que la paix sociale et la démocratie ne peuvent exister durablement que dans le respect des libertés individuelles, dont le respect du droit de propriété. 


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