Commentaire de César Castique
sur Moi président, je n'aime pas les pauvres, moi président je n'aime pas les sans dents
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« ...conséquences pour qui ? »
J’ai écrit « éventuelles ». Je ne sais ni quelles ni pour qui, et les spéculations m’emmerdent prodigieusement, à part l’uchronie, je ne connais rien de plus vain.
« ...pour les sans-dents ? »
Comme je l’ai écrit ci-dessus, ce joke imbécile, rapporté hors contexte, n’a peut-être bien servi qu’une seule fois, dans la bouche d’un type connu pour avoir le bon mot - c’est une façon de parler - facile, dans les deux sens du terme.
« ...vous croyez que cela va changer quoi que se soit à ’’ l’image de la France » ?"
Non.