Commentaire de quid damned
sur Paradoxon Magnus, tempus fugit et Deus ex machina (*)


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quid damned quid damned 6 octobre 2014 22:59

Merci d’avoir consacrer de votre temps pour ce texte.
Concernant le cerveau il y a effectivement bien des façons de considérer cette machine, la fonction créant l’organe (ou pas) il pourrait par exemple n’être qu’un récepteur, re-transcripteur, puis émetteur d’une ou de conscience(s) transcendante(s). L’Homme n’est peut-être que le début d’une entité en devenir. J’ai lu dans un livre qui me paraissait sérieux et dont j’ai oublié les références qu’un neurochirurgien avait démontré par des expériences sur des patients volontaires que la conscience précède les activité électro-chimiques du cerveaux de quelques fractions de secondes. Je n’en serais pas étonné si cela était confirmé.
Rassurez-vous je ne crierai pas « au déiste ! », même si je suis parfois un peu sarcastique sur le sujet ce sont les visions anthropomorphes et moralisatrices de la plupart des religions qui m’agacent un peu. Je n’ai rien contre l’idée de consciences « supérieures ». Nous sommes si petits et si éphémères.
Votre interprétation « trinitaire » et consubstantielle est intéressante, d’autant que la frontière entre nos corps et le reste de l’univers et la matière en générale vu à l’échelle des particules élémentaires (et plus « loin » encore) n’est qu’illusion. La matière étant majoritairement composée de vide.
Merci donc aussi d’avoir partagé votre point de vue.
Bien cordialement.


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