Commentaire de quid damned
sur Paradoxon Magnus, tempus fugit et Deus ex machina (*)
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Je pense qu’il faudrait ici s’entendre sur l’acception de la perfection et de sa corrélation ou sa probable synonymie avec la pureté. Et vous touchez peut être quelque chose : pourrait-on envisager le Néant comme la pureté dans ce cas, si l’on en débarrasse de l’aura péjorative et rhédibitoire dont on a tendance à instinctivement l’affubler. Ce qui signifierait que lors de vos méditation vous feriez partie des rares privilégiés a appréhender cet horizon existentiel. Je m’égare, peut-être, mais je n’exclue pas d’y réfléchir.
Merci du compliment.