Commentaire de jack mandon
sur La survie humaine au risque de l'absurde
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Jean,
renonçant à découper ce texte en tranches mortes, il nous fait sentir les rythmes de son « architecture en mouvement »
Entre un être animé et la même personne morte quelques heures plus tard, se concentre toute la différence de l’énigmatique vie d’ensemble interactive et le cadavre devenu.