L’auteur défends en fait complètement le propos que vous développez, et critique plus la démarche d’envoyé spécial tout en ménageant celle du « journaliste Israélien ».

Il aurait pu dire - par exemple - qu’il est difficile d’apprécier les « menaces » lorsque on ne parle pas la langue dans laquelle elles auraient été proférés, ou alors qu’il s’agit d’une bien curieuse conception du journalisme d’aller « enquêter » en ayant payé un molosse pour « assurer votre sécurité ». 

Prétendre à l’augmentation des actes anti-juifs est une constante de l’extrême droite Israélienne, et le crif - son ambassade en France - n’y déroge évidemment pas, en qualifiant tout et n’importe quoi d’acte d’antisémite. Le but réel étant de placer les communautés juives dans un sentiment permanent d’insécurité, d’une part pour doper le sentiment communautariste, et d’autre part stimuler les déménagements en Israël, pour pallier à la seule véritable peur de la classe politique Israélienne : le déficit démographique des blancs, au profits des Noirs ou Arabes. 

Derrière ces prétendues augmentations des actes antisémites, il y a simplement la volonté de poursuivre un modèle d’apartheid qui s’est partout ailleurs effondré.