Commentaire de asterix
sur MOLENBEEK, la mairie islamiste bruxelloise qui endeuille Paris


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asterix asterix 16 novembre 2015 11:59

 

 

 

Lettre ouverte d’un ancien Molenbeekois à l’ancien bourgmestre, Monsieur Moureaux …

Mr M. a soigneusement préparé son investiture. Il y a maintenant 24 ans, la majorité molenbeekoise fut négociée comme suit : MR et socialistes étant quasi à égalité, le pouvoir se partagea entre les deux clans. 3 échevins chacun, le mayorat d’abord donné au MR (PRL à l’époque) Mr  Spiegels, un pâle libéral ( ? ) émargeant de surcroît au chômage alors que du boulot, il en courait plein les rues, puis confié au nouveau venu soigneusement resté tapi dans l’ombre après avoir envoyé en première ligne trois de ses hommes-liges pour coloniser l’administration, le budget, les affaires sociales et l’urbanisme. Le moment venu, Mr M quitta sa fonction de Ministre des Affaires économiques peu avant la disparition jamais élucidée de son « si cher guide spirituel » André Cools l’homme le plus puissant de Wallonie qui gérait en sous-main toute la partie semi-étatisée de l’économie du Sud du pays, le PS étant à l’époque sous coupe des sections liégeoise et bruxelloise du Parti.

Les Hennuyers Spitaels, Busquin et Di Rupo se sont bien rattrapés depuis.

Auto-proclamé héritier du leader assassiné, Mr M est depuis des temps immémoriaux Président de la section bruxelloise du PS. Il a dit à maintes reprises qu’il savait le pourquoi du meurtre de Cointe sans être jamais allé plus loin dans ses allégations. Une de ses méthodes favorites : dire urbi et orbi qu’il sait, mais ne jamais rien ajouter. Van Der Biest, le lampiste ivrogne, dont on n’a jamais su par qui il s’est laissé berner, a fini par se pendre dans sa cellule et la vérité judiciaire n’est jamais allée plus loin.

C’est qu’au PS, on lave le linge sale en famille sans rien préciser.

Une des phrases de Mr M prononcée au Micro de la RTBF est pour le moins « amusante » : "Du temps où j’étais Ministre, on procédait à n’importe quelle dépense sans la moindre nécessité budgétaire, pourvu qu’elle soit compensatoire dans nos rapports intra-communautaires". C’est que gérer l’inutile rapporte gros tant en fric qu’en puissance. Catastrophe dont nous payons encore les effets aujourd’hui, ce n’est pas le postindustriel qui a été mis en avant, mais la mainmise.

Lors de l’affaire AGUSTA, Guy Spitaels, Président du PS, fut reconnu coupable de corruption et condamné, c’était le numéro un du parti. Secrétaire Général de la Fonction Publique, Merry Hermanus le numéro 3, connut la prison pour …disons, trafic d’influences. Le numéro deux, Mr M ne fut jamais inquiété. Idiot car jamais au courant de rien, ou à ce point puissant qu’il a pu impunément passer à travers les mailles du filet ? 

Je vous laisse deviner ma position...

Revenons à ma chère commune ! En trois ans de colonisation, les petites mains avaient fait de l’excellent travail en attendant l’arrivée du Maître en tablier – pas en salopette, ce faux leader ouvrier n’en a sans doute jamais porté une de sa vie durant. Tout était en place : une majorité politique aux ordres et la main-mise sur l’instrument chargé de la mettre en pratique. D’une part la fonction publique, de l’autre un faux tissu associatif et d’organismes paraétatiques dont aucun ne se trouve à Boisfort ou Auderghem, ni même Evere, mais qui sont en surnombre à Molenbeek. Autant d’obligés supplémentaires comme on dit quand on ne peut pas le dire mais qu’on dit quand même.
Mission accomplie, Molenbeek l’exclue sociale l’est encore cent fois plus aujourd’hui grâce à Sa Sainteté Flupke, celui devant lequel il faut se taire, mieux, se recueillir. Lui sait ce qui est bien pour vous. Ne discutez pas et dites-lui plutôt merci : cet homme de droit divin est bon, il défend les pauvres.

A ce qu’il dit, du moins… C’est qu’on ne nait que chanceux ou pas. Le papa de Mr M était un très « gros » notaire et maman héritière de la famille Blaton.

Son frère Serge fut d’abord député FDF. Il passera plus tard au PS lorsque le parti amarante perdit unegrande part de son influence. L’ex-épouse (Madame Dupuis) est encore aujourd’hui chef du groupe PS à la Région bruxelloise. Le pouvoir s’exerce en famille, rien qu’en famille. Tel est le parcours de cet ex prof d’Histoire à l’ULB, c’est à dire dans la même branche que Bart, à la différence que ce dernier ne s’est jamais penché que sur le sort des anciens collabos.

Question machiavélisme, entre ces deux-là je dirais : match nul !

Archiduc du socialisme de salon, notre bon Mr M est riche, très riche. Il n’a jamais donné une once de ce qui lui appartient aux pauvres, n’a quasiment pas vécu en son domicile rue de la Mélopée, mais avec une petite beurette engagée au Cabinet Piqué qui occupait un appartement, social bien entendu, au Parc du Peterbos. Le week-end, Monsieur M se repose en sa villa de campagne à Ittre. Couvert de mandats pour assurer le quotidien, il contrôle la plus puissante de nos loges, l’information sur Télé-Bruxelles, la RTBF, les budgets locaux via son réseau de camarades. Il intervient où et quand il veut, soit sous forme d’anathèmes ou pour s’adjuger le mérite d’avoir préparé un nouveau plan, manière de s’en assurer la paternité sans faire plus que l’effet d’annonce. Uniquement dans l’émotionnel, jamais dans la pratique. Lui, le grand homme de communication, le francophone qui tient tête aux Flamands et aux vampires de l’asocial. Lui le réalisateur de tous les plans B qui n’ont jamais vu le jour, celui qui a trahi Bruxelles. Pas rien que Bruxelles d’ailleurs. Il a même abandonné les travailleurs pour s’assurer le vote des nouveaux fidèles au nom de la tolérance. Avec les résultats confondants que l’on connaît : un taux de chômage molenbeekois alarmiste (plus de 60% chez les jeunes !), une société incontrôlable, une zone de non-droits, une commune sociologiquement coupée en deux, un Molenbeek qui fait tache d’huile diraient les Flamands. Une commune incivique et d’une saleté repoussante où plus personne ne se sent chez lui. De l’insécurité partout. Du trafic de came à ciel ouvert. Des flics démotivés par le laxisme et qui finissent par comprendre qu’ils ne peuvent surtout pas exercer leur rôle. Un tiers-monde déjà supplanté par un lumpenprolétariat perdu en un monde dont il ne reconnaît pas « les » valeurs, mais bien « la » valeur…

L’humanisme au service des pauvres ...il n’en faut pas plus pour dire que c’est ainsi qu’on les défend.

Le journal « Le Soir » lui a un jour demandé à quel endroit de la commune il aurait préféré habiter.

Sa réponse : « Au château du Karreveld ! »

Ce château, notre Excellence qui y a transféré les séances du Conseil Communal s’y sent si bien chez lui qu’il l’a fait by Lights Cinema 1.5beta"> rénover à grands frais par les deniers publics, allant jusqu’à enjoliver le parc de séquoias et d’espèces rares qui ont coûté la peau des fesses. Un jardin privatif dont la quiétude a coûté une fortune au contribuable local alors que la plupart des anciens immeubles sociaux sont dans un état lamentable.

N’est pas Majesté socialiste qui veut, voyons !

Il faudra une troisième partie et vous saurez ce qu’est vraiment Molenbeek
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