Commentaire de asterix
sur MOLENBEEK, la mairie islamiste bruxelloise qui endeuille Paris


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

asterix asterix 16 novembre 2015 12:13

Et la fin, c’est fou ce qu’il y a à dire sur le machiavélisme du personnage...

Mr M qui fut un jour prof de critique historique, je lui livre ce qu’a, un jour, dit Lénine :

« Pour faire la révolution, il suffit de la fomenter. Après le soulèvement, on affame le peuple. Ensuite, on lui donne un quignon de pain et chaque petit chose vous en remerciera du fond du cœur. Puis, vous le leader, vous donnerez aux plus fidèles quelques tranches de saucisson et vous aurez le contrôle politique total de la société, car le pouvoir est dorénavant à vous. ».

Mr M, cette forme de critique historique, je l’ai apprise dans une autre université que la vôtre. Vous qui nous surclassez tous par vos états d’esprit, votre discours caustique, le mépris dont vous faites preuve devant tout qui ne s’incline pas devant vous. Vous le pourfendeur, vous l’excommuniant enfin excommunié depuis une semaine.

Élections locales de 2000. Là, cela devient tout chaud, je fus partie prenante, aux premières loges pour saisir la turpitude des accords secrets, les mensonges avérés et le machiavélisme qui lui ont permis de rouler les écolos dont j’eus pu briguer la tête de liste alors que je ne savais rien - ni moi ni aucun colistier - de l’accord qui s’était tramé entre la fédération bruxelloise du PS et les staliniens bobos qui dominent la Régionale bruxelloise du mouvement écolo. L’accord secret négocié entre Mr M et Henri Simons (passé ensuite au PS où il occupe une place de choix à la Ville de Bruxelles pour services rendus) prévoyait l’adjonction des Verts à toute majorité chaque fois que cela s’avérait nécessaire. Personnellement, j’avais toujours défendu un éventuel accord avec le MR, car il vaut mieux se mettre en cheville avec l’ennemi que de se faire bouffer par l’allié dont on ne sera inéluctablement que la cinquième roue de la charrette, position qui alerta tellement la direction générale du mouvement à laquelle j’avais opposé les statuts du parti disant que chaque section locale était maître de son destin, règle fonctionnelle à laquelle elle trouva parade en faisant domicilier un des deux Présidents nationaux du mouvement, précisément au Boulevard Belgica, 42 jours avant l’élection ( la limite pour être candidat effectif est de 40 jours ) qui triompha bien sûr au pool auquel je décidais de ne pas participer, me doutant qu’il y avait un accord préalable avec le Parti à la rose sans épines. L’obscurantisme, une autre manière de faire de la politique. La bonne gouvernance vue côté pratique…

En moins de deux heures l’accord fut paraphé : Ecolo reçut deux échevinats, le by Lights Cinema 1.5beta"> commerce et l’urbanisme… Tout s’achète.

Le by Lights Cinema 1.5beta"> commerce ? Un échevinat sans administration et purement honorifique dont la représentante est, dès la fin de son mandat, passée au MR…

L’urbanisme ? Un échevinat dont les services administratifs étaient sous coupe d’une chef de service par ailleurs épouse du Premier Echevin, socialiste bien sûr !

Mieux encore : TOUS les mandats para-communaux donnant lieu à rémunération passaient aux camarades rouges et quasi tous ceux qui étaient gratuits furent conférés aux Écolos.

Pour la seconde fois consécutive, le Diable tirait toutes les ficelles et, au bout de la plus usée d’entre elles, on trouvait la chèvre verte de Monsieur Seguin si chère à Alphonse Daudet.

Dégoûté, je n’ai pas renouvelé ma carte de membre. Partie pour se faire leurrer six ans, l’Echevine de l’urbanisme vit tous ses projets contrecarrés. Celle du by Lights Cinema 1.5beta"> Commerce fut tournée en ridicule par sa propre communauté. Des cinq élus, il n’y en eut que deux à terminer leur mandat et Sarah Turinne, qui a le chic de s’habiller en femme de ménage, pointa le bout de son nez.

Amen, la messe était dite. Mr M put pour la seconde fois gérer Molenbeek à sa sauce.

En 2006, nouveau scénario. Devenus inutiles, les Ecolos furent remplacés par le MR qui, mouillé dans des affaires datant d’il y a plus de 15 ans, la joua profil bas. Je n’ai rien contre – ni pour, d’ailleurs - Madame Scheepmans à laquelle je reconnais une certaine obstination, mais il faut bien reconnaître qu’elle s’est tue dans toutes les langues. Le fait qu’elle ceint l’écharpe mayorale ne laisse en tous cas pas augurer d’une nouvelle majorité dite du changement. D’autant que l’administration locale se trouve aux mains de « l’ennemi »  d’aujourd’hui, l’ami d’hier.

Je ne m’étendrais pas sur la gestion des six dernières années. Zéro plus zéro, toujours zéro. Seul le pontife glorifie son laboratoire social, glisse lentement vers le communautarisme religieux et tente de nous faire prendre sa vessie pour une lanterne en niant l’insécurité grandissante des lieux.

J’allais oublier les trois séquences de destruction collective du mobilier urbain, l’accueil de salafistes dont l’épouse de l’assassin de Massoud, les prêches de salafistes vengeurs et la révolte organisée par les activistes du mouvement « Sharia 4 Belgium » dont les membres bruxellois se réunissent depuis des années dans un salon de thé au coin de la Place Saint Jean-Baptiste, à cent mètres à peine du commissariat où deux agents sont chargés de veiller sur l’intégrité de la voiture de fonction du maître des lieux. 

Lundi dernier, le dictateur Flupke a donc reçu son préavis pour avoir une fois de plus traité ses alliés potentiels par-dessus la jambe… Blackboulé comme il le méritait, à peine sauvé en façade par le vote ethnique qui cache l’ampleur du rejet de sa personne, le grand homme, le traître parmi les traîtres ose encore crier à la trahison, ne comprend pas qu’on peut se passer de lui, hurle à l’incompréhension, se retire de la politique …mais annonce dès le lendemain qu’il garde sa liberté de parole et son grassouillet mandat de Sénateur. Il faut bien vivre.

Dommage, il eut tant mérité la charrette et les quolibets de la foule, mis au pilori sur la Grand-Place de Bruxelles avec interdiction de lui lancer à la tête de grosses tranches de jambon, sinon ce sera la lapidation assurée.
Retirez-vous vite en votre luxueuse résidence de campagne, Monsieur Moureaux.


Voir ce commentaire dans son contexte