J’ai oublié le nom du leader algérien du FIS qui déclarait que toute laïcité de l’état, toute laïcité de la société civile, toute séparation de l’état et de la religion, tout cela était dépourvu de sens en Islam : l’Islam règle tout, tout, tout...

On a reçu ici des enfants déjà scolarisé dans les Aurès, qui se balançaient d’avant en arrière pour lire, même en français. On en eu d’autres, trois frères et soeurs, qui ne prenaient même pas la peine de comprendre l’énoncé, qui ne posaient aucune question pour mieux comprendre, mais écrivaient vite vite vite n’importe quoi. C’était cela le mode de réponses qu’ils avaient apprises de leur uléma (éventuellement envoyé par l’Egypte) pour arabiser et islamiser les enfants à marches forcées, à pleine violence et à pleine bêtise.

Accessoirement, ils croyaient savoir nager quand ils n’avaient jamais pataugé dans plus de 40 cm d’eau. Je le sais car c’est moi qui ai encadré ces sorties à la piscine, de nos jeunes primo-arrivants joints aux élèves de la Mat-sup (Maternelle supérieure) voisine.

Ces anecdotes pour rappeler que nombre d’intervenants sous-estiment lourdement le totalitarisme, la bêtise et la violence inhérents à l’Islam. Consécutivement, surestiment le pouvoir de leurs complices et financiers en Israël et chez les naglosaxons. Vladimir Poutine l’avait rappelé le 28 septembre à l’ONU : « Ils ne sont pas plus idiots que vous, ils ne se laisseront pas jeter à la poubelle quand vous n’en voudrez plus ».

D’origine, l’Islam a été conçu par les khalifes, et optimisé pour la guerre de conquêtes par le peuple élu, qui venait de cesser d’être les juifs mais leurs supplétifs : les arabes. La guerre, ils ne savent faire que cela, et ils la font mieux que personne. Que des peuples, et surtout le petit peuple aient accommodé des versions adoucies et pacifiques de l’Islam, ce n’est que de la contrebande fragile, là où les princes négligeaient de surveiller. Les cinq obligations basiques, ça n’est que le début, pour faciliter les conversions, mais année après années, les imams exigent davantage, jusqu’à la Djihad, l’engagement dans la guerre totale contre les autres. Nulle trace de spiritualité, en Islam toutes les obligations sont concrètes.