Commentaire de Philippe VERGNES
sur La ponérologie politique : étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques – une psychologie du complot (1/3)


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Philippe VERGNES 5 décembre 2015 20:46

@ Nicole CHEVERNEY, bonsoir,


Merci pour votre commentaire et ce retour.

J’ai très bien conscience du tabou que vous dénoncez et ce... depuis un peu plus de vingt ans. C’est bien pourquoi je publie des articles sur le sujet ici ou ailleurs qui dénoncent cet état de fait. Toutefois, je ne me fais strictement aucune illusion.

Personnellement, je vote non pas en fonction d’un candidat, de son programme, de ses avoirs ou d’un parti, mais plutôt de la personnalité dont témoigne celui qui sollicite mon suffrage. Exit d’office le candidat qui s’évertue à ne pas tenir ses engagements ou celui qui annonce un programme qu’il ne pourra pas tenir. Et selon les élections, après mûre réflexion et écoute des différents candidats, s’il ne reste plus personne - ce qui arrive -, je vote blanc.

Les choses ne pourrons vraiment changer que le jour ou les menteurs, les bonimenteurs et autres mythomanes seront démasqués pour ce qu’ils sont et ne pourront plus exercer de fonctions gouvernementales. Et je n’imagine même pas pouvoir connaître cela un jour, mais là n’est pas l’important. L’important est qu’une conscience populaire puisse se développer et apprenne à acquérir une conscience « dramaturgique ». C’est-à-dire à savoir distinguer le bon grain de l’ivraie.

Cordialement,

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