Commentaire de alinea
sur Trente-cinq ans de destruction agricole
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Personnellement je préfère qu’ils cassent du matos plutôt que brûler vif des brebis anglaises dans leur camions.
Ils ont été piégés, et très vite, et cette violence n’en est que l’illustration. C’est le défoulement de l’impuissance ; c’est ce mode de production, cette compétitivité, cette industrialisation, cet éloignement progressif puis total de la terre qui rendent les gens fous !
Quand les obéissants sont trahis, la haine est grande !