Commentaire de Emile Mourey
sur Du Caravage de Toulouse aux tableaux de Loches
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@Didier Rykner
Merci de m’avoir envoyé votre lien La Tribune de l’Art (www.latribunedelart.com). J’y ai trouvé des renseignements déterminants.
En fait, ce qui pose question d’une façon générale, c’est la possession morale ou immorale d’un tableau de maître. Soyons clair ! Une découverte fortuite, un vendeur qui ne connaît pas ou mal l’origine et la valeur d’un tel type de tableau, comme la presse l’a plusieurs fois rapporté, c’est bizarre. Ce même vendeur qui accuserait ensuite de faute professionnelle un commissaire-priseur de l’avoir sous-estimé, c’est encore plus bizarre. En revanche, que peut-on reprocher à l’acheteur qui l’acquiert légalement en salle des ventes en prenant les risques attachés à tout achat et qui essaie de le faire connaître ? Absolument rien !