Commentaire de César Castique
sur La grande frayeur de Carlos Ghosn
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@izarn
« Oui, c’est le marché des gens qui sont achetés par la finance. »
C’est secondaire. Ce que j’ai trouvé intéressant, c’est que le type se voie comme un footballeur. On investit en spéculant sur ce qu’il est susceptible d’apporter à l’« équipe » et au « club ». Faut pas chercher plus loin.
Le reste, c’est de la politique, et là, comme je ne vois que les idéalistes chimères du collectivisme - auxquelles il n’y a plus qu’une poignée d’intellos pour croire encore - se poser en remplaçantes du capitalisme, je préfère encore le statu quo. On peut en espérer une sortie autre que les rationnements en tous genres.