Commentaire de César Castique
sur La nouvelle abdication de la Grèce face à ses créanciers tortionnaires
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@alinea
Désolé, mais moi, les souffrances des Grecs, j’y crois plus.
La dignité, j’en parle même pas.
Au moment où leurs députés s’apprêtaient à voter un tour de vis supplémentaire, il ne s’en est pas trouvé vingt mille pour gueuler devant le Parlement.
Alors, Tsipras et ses potes de l’U.E., du FMI et de la BCE auraient vraiment tort de se gêner.