Commentaire de Alren
sur Le meurtre d'une députée britannique pendant la campagne du BREXIT ou une histoire qui se répète étrangement


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Alren Alren 18 juin 2016 11:25

@Jeussey de Sourcesûre

Chrurchill disait en gros que la meilleure façon de conserver secret un secret c’était de l’entourer de mensonges. Cette tactique a fonctionné merveilleusement contre l’Allemagne nazie.

Entourer de mensonges, de rumeurs, d’hypothèses pour égarer les citoyens désireux de vérité, c’est ce qui semble se profiler dans cet affaire d’assassinat qui tombe effectivement à point nommé contre les pro-brexit accusés de violences verbales alors que la presse de caniveau aux ordres de la City et des milliardaires n’avait pas de mots assez durs contre eux.

La question se pose même de savoir si ce Thomas Mair a vraiment tiré sur Jo Cox. Elle aurait reçu des coups de poignard et des balles. Si le meurtrier présumé possédait une arme de poing - ce qui semble-t-il n’est pas facile en UK pour un particulier - pourquoi s’encombrer d’une arme blanche ?

En ce qui concerne l’assassinat de Kennedy, il semble que l’on ait fourni à Oswald des cartouches avec leurs balles mais dont on avait ôté l’amorce et la poudre.

De peur sans doute qu’il tire trop tôt, rate la cible et fasse rater l’attentat. Les vrais tireurs d’élite étaient à l’horizontale, devant la voiture, dans le virage, derrière un tertre engazonné, seul endroit d’où la balle qui a défoncé l’arrière du crâne du président US a pu être tirée.

C’est un morceau de cerveau de JFK que Jackie essayait de récupérer, dans son égarement, sur le coffre arrière de la voiture avant qu’il ne tombe sur le sol.

Or, avant d’être rendu muet par Jack Ruby qui l’a tiré et tué au milieu d’une escorte inefficace de policiers, Oswald ne niait nullement avoir tué Kennedy sachant pourtant qu’aucune balle n’était sortie de son arme.

Je pense que dans les deux affaires nous ne saurons jamais la vérité officielle si les services secrets sont derrière l’opération.


Voir ce commentaire dans son contexte