Commentaire de Jean Keim
sur Fête Nationale et Mythologie révolutionnaire


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Jean Keim Jean Keim 6 juillet 2016 07:50
Je vous cite : « Eriger le 14 juillet en fête nationale revient donc à glorifier un mythe porteur de mortifères illusions ».
N’en est-il pas ainsi des commémorations de la guerre 14 - 45 et de la plupart des guerres, et l’histoire officielle ne retient-elle pas plus facilement les noms des tyrans, et les dates ne sont-elles pas dans leur majorité que des jalons sanglants ?

Alors des questions se posent : est-il possible de faire la révolution sans violence, sans dirigeants, sans meneurs et sans suiveurs, sans querelles d’intérêts, sans prise de pouvoir, sans règlements de compte, sans idéologie ... ?
Bien sûr que c’est possible puisque les questions peuvent se poser mais les consciences n’existent pas encore.

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