Commentaire de bakerstreet
sur L'Art contemporain : Spinoza et Frédéric Lordon...


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bakerstreet bakerstreet 7 juillet 2016 09:27

Ce qu’il y a de particulier dans l’art contemporain, au delà des questions qui au bout du clivage servent à certains à vous regarder de haut, en vous rejetant dans le clan des ringards, des réactionnaires, de ceux qui n’ont rien compris à la modernité, ce qui est bien sûr une supercherie, c’est que sa valeur et ses « génies » échappent à la critique habituelle, définie comme vous le dites par les règles intangibles du « bel art », pour être aux mains des hommes d’affaire, et des margoulins en tout genres, hommes d’influence qui définiront l’oméga. 

Alors oui, « il n’y a plus de valeur ». Ou plutôt si : Ce seront celles de nos bon maîtres, qui selon leur bon plaisir, et mettront les étiquettes. 
Les affects, la dedans, il n’y en a pas vraiment. Nous sommes chez les pervers

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