que l’on n’aime pas le burkini est le droit de chacun, que chaque personne puisse s’habiller comme elle l’entend est une liberté de tous.

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Sauf quand même que ces sortes de pratiques vestimentaires, libres en occident, sont imposées ailleurs, aussi bien chez les chiites d’un Iran néo-nazi que dans l’Etat coranique.
Depuis un an, plus de ceux cents citoyens français sont morts à cause de l’islam. On aurait pu attendre de ceux des musulmans qui protestent contre tout amalgame, qu’ils prissent leurs distances avec les moeurs les plus médiévales des pires dictatures.
Au lieu de cela, voilà des femmes qui affectent de devenir les étendards de ces systèmes odieux. C’est un peu comme si vous vous promeniez avec une croix gammée sur un tee-shirt. Vous pourriez toujours dire que la svastika est un symbole déjà présent dans les plus anciens cultes de l’Inde, on vous rira au nez et on aura raison : le nazisme a modifié notre perception de ces choses.Entre la burqa, le niqab et le burkini, je ne vois pas trop de différences. C’est exactement comme si on s’enveloppait dans un drapeau de ce qu’on appelle l’état islamique et que je préfère appeler, moi, l’état coranique. Outre l’obscénité des cette sorte d’exhibitionnisme sexuel, il y a là une intention criminelle qui s’exprime quasi explicitement, et qui ne pourra être tolérée que par des crétins : ceux qui n’ont encore rien compris aux grandes manoeuvres actuelles de l’islam.