Commentaire de Jean Keim
sur .. à qui veut la lire
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Merci pour cette lettre ouverte, sensible, que j’ai entièrement dépliée.
Quand je croise des gens au cours de mes ballades, je constate que la plupart du temps les regards se fuient par crainte d’une réaction qui tient de la fantasmagorie, alors sans hypocrisie, je dis bonjour, je souris et le plus souvent ça marche et il n’est pas rare que même des ados apparemment jamais croisés spontanément me disent bonjour.
Tout commence par le regard, neutre, bienveillant, il doit s’avoir s’esquiver s’il crée une gêne, sa signature est un sourire.