@arthes
A mal nommer les choses ont aggrave la misère du monde, isait Camus... Non, non, il ne s’agit pas de rebelles, mais de terroristes ! Les médias français sont aux ordres : quand il s’agit d’attentats en France, ils parlent de terroristes. Mais quand il s’agit des mêmes nazis qui œuvrent en Syrie, il s’agir de « rebelles », presque des révolutionnaires, si on les écoute !

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Le changement de mot est destiné à couvrir cette fiction « des rebelles modérés », qui n’ont jamais existé ailleurs que dans l’imagination des communicants américains...pour faire croire qu’il s’agissait en Syrie d’une guerre civile contre Assad, et pas d’une guerre coloniale de l’ OTAN et de leurs financiers du Golfe ....

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Général Didier Castres, Sous-chef opérations de l’Etat major des Armées, auditionné le 16 décembre 2015 par la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat. Voici ce que l’officier français révèle au grand jour :

"Les forces combattantes de Daech sont estimées à un effectif de 30 000 en Syrie et en Irak, dont 40 % de combattants étrangers. Ils sont opposés à 140 000 Kurdes du nord de l’Irak, 7 000 Kurdes syriens et 130 000 membres des forces de sécurité irakiennes. En outre, il existe en Syrie une constellation de combattants très divers de l’ordre de 100 000 personnes, dont la France estime que 80 000 d’entre eux appartiennent soit à des groupes terroristes désignés comme tels par les Nations unies, soit à des groupes salafistes extrémistes.” (...)