Je recommande vivement la lecture du récent bouquin de Fillon : « Vaincre le totalitarisme islamique ».
Lui, au moins, à la différence du copain bordelais de Tarik Oubrou, sait voir qu’un chat est un chat et qu’il n’y a pas lieu de se raconter les histoires de ce qu’il appelle un « aveuglement volontaire » .« Nous nous trouvons, écrit-il, devant un adversaire qui mène contre nous une lutte totale et qui n’a pas en tête notre asservissement mais notre anéantissement » (p. 44). Il voit très clairement qu’il s’agit d’un conflit mondial et a très bien compris ce qui fait de l’islam un totalitarisme très voisin du nazisme.
Je recopie le dernier paragraphe de la page 58 :
« Ajoutons enfin que les totalitarismes comme l’islamisme estiment que le livre auquel ils se reportent donne les solutions, toutes les solutions, quels que soient les problèmes rencontrés. On pourrait souligner leur parenté dans la haine de la culture et du savoir, la subordination de la femme, l’embrigadement des enfants, la persécution des minorités ethniques ou sexuelles. Et enfin la référence permanente à un passé mythifié : la Rome antique, le culte des Germains, l’âge d’or de l’islam ».
Les mesures immédiates qu’il préconise sont tout à fait à la mesure d’un péril que les socialistes ont fait semblant, parfaites autruches, de ne pas voir.
En Israël en ce moment, des « Palestiniens » qui seront devenus en peu d’années sous la conduite de leurs dirigeants néo-nazis un peuple d’assassins fanatisés comme pouvaient l’être les Allemands des années 30, commencent à incendier les forêts. Un article israélien que je lisais hier mettait en garde : ce qu’on voit en Israël aujourd’hui, on le verra demain en Europe. Il y a longtemps que j’avais pensé à cette possibilité et à bien d’autres dont il est préférable de ne rien dire, mais ce que je ne savais pas encore, c’est que cette stratégie-là serait préconisée par les plus vieux textes du jihad guerrier.
Je ne sais pas si Fillon pourra réaliser son programme économique. Ma nullité abyssale dans ce domaine-là ne me permettrait pas d’argumenter bien longuement, mais une chose est sûre : la question essentielle n’est pas là, elle est d’empêcher la guerre civile qui menace et d’obliger l’islam en France à rentrer dans le rang en quatrième vitesse.
J’avais voté pour Fillon dimanche passé. Je vais recommencer demain puisque l’autre n’aura pas été capable de cette ’élégance minimale qui eût consisté à prendre acte de sa défaite. Encore un aveugle, celui-là.