Commentaire de L’enfoiré
sur Hollande Fillon les « couillons » de l'histoire


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L'enfoiré L’enfoiré 7 décembre 2016 08:50

@dd bonjour,


Ce que je voulais exprimer n’a rien à voir ni avec l’égoïsme ni avec l’égocentrisme, comme on le voit souvent chez nos hommes politiques ou nos dirigeants. Je ne sµcite pas de nom, quoique un Trump pourrait être un bon représentant.
Etre soi, c’est avoir quelques convictions et des projets qui peuvent être adopté ou non par la société. C’est avoir des idées qui sortent de l’ordinaire.
Ce n’est pas non plus pour correspondre à cette société de compétitions multiples.
Oui, absolument, nous sommes impactés par l’environnement.
J’ai appris dans la période pendant laquelle j’ai fait du management, à mettre en avant des jeunes qui avaient des idées. Des perles qui inventaient d’autres manières de travailler. 
Motiver par la délégation pour que les personnalités puissent exercer leur propres. Le manager est celui qui doit le détecter. C’et un point de ralliement de forces vives, qu’il doit faire fructifier . J’ai écrit tout cela dans ce billet.
Cela n’a rien à voir avec les tests de Pisa à la mode qui vérifient le degré de connaissances apprises.
Assimiler la matière apprise, les connaissances apprises et les extrapoler ensuite. La créativité, un beau mot qu’il faut mettre en exercice.
Il y a les idées initiales qui viennent très souvent d’une tête et qui pour qu’elles fructifient doivent se mettre en communion avec d’autres têtes qui partagent le même projet.
Nous avons de très mauvaises cotes en Pisa. Et alors ?
Enseigner, manager, même combat : trouver les perles dans des huîtres parfois bien fermées. 
Mon dernier billet « Réapprendre à apprendre » parlait justement du volet de l’éducation avec cet édito de Psychologies qui me paraissait parler avec les mêmes notes que les miennes.
Ce deuxième billet était une réponse au malaise ressenti par les jeunes de la génération « QUOI ».qui craint l’avenir.
Bien sûr que je sais que je vais parfois (ou souvent) à contre-courant des idées qui apparaissent sur Avox. Rien à cirer. S’il y en a un qui s’oppose à la masse des idées reçues, je serai celui-là.
Le métier que j’ai exercé pendant tant d’années a toujours cherché à trouver le chemin le plus simple pour atteindre un but. Et, ce qui est simple, est souvent ce qui demande le plus de réflexions pour se mettre en place.
 
Je réciproque l’intérêt que je trouve à lire vos billets.
Bien à vous 


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