Commentaire de La Baudruche négrière patronale verdie
sur Un tableau inconnu de Caravage


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LES AVENTURES DU PITHÉCANTHROPE CRASSANEL.

Episode 4 : L’esthétique du Maître chat Schrödinger
 
Schrödinger n’était pas très porté sur l’esthétique du vrai, de l’efficient platonicien, celui des beaux camions qu’adorait son pithécanthrope crétin Crassanel, des avions de chasse à la beauté dessinée par l’aérodynamisme, où celle des locomotives TransPacifique. L’esthétique du un, l’harmonie de la note, des vibrations de couleurs, où celle de l’en-soi, la poésie par ex, les proportions du nombre d’Or, la spiritualité, tout cela l’intéressait peu.
 
Comme animal à l’intelligence du sensible, le chat Schrödinger était passionné par la beauté du grand, où il pouvaut déployer au maximum ses capacité félines.
 
Pour le Maître chat, s’il l’avait vu, le désert aurait été plus beau que son bac à sable, l’océan que sa gamelle, la montagne que le caillou. Aussi quand Schrödinger découvrit la banlieue HQE des bonobobo verts, son laid bétonnage pour la surponte des 9 sœurs à Coulibaly, ses poubelles plastique affreuses de 12 couleurs différentes, son trottoir pour le « jogging » mondain, Schröndinger se découvrit artiste aussi...
 
Alors le Maître chat ordonna d’emballer tout de papier cul.
 
Vert merdeux couleur de la diarrhée des bonobo pseudo-écolos. Les immeubles, les poubelles, les Prius à bobo électrifiés etc ... tout fut uniformément emballé de papier cul symbole du gogocho. Les pithécanthropes aussi furent empaquetés, comme des glands remplacés par des burkinis merdeuses ...
 
Et le béton de la colonie à Soros devint un océan vibrant dans le vent, magnifique par le simple fait du grand uniforme (et aussi parce qu’on ne voyait plus les pithécanthropes).
 


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