Commentaire de Gandalf
sur Le capitalisme sinon quoi d'autres !


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Tzecoatl Gandalf 26 février 2017 12:02

Le gros bug du capitalisme est que la monnaie n’est d’émanation que capitalistique : et c’est une fatuité (banques centrales).

Dès lors, l’information des manoeuvres des banques centrales est la concurrence principale, du moins si l’on considère l’enrichissement par les moyens de symboles monétaires.

Chouard parle de 16 000 milliards de monnaie imprimé à partir de rien.

C’est concentrer trop de pouvoir au capitalisme, à la mondialisation, à la concurrence entre salariat et esclavage, à la concentration des multinationales, de pouvoir d’achat au système bancaire et financier au détriment des autres secteurs, etc.

J’ai écris cet autre modèle (en fait un lego complétant le capitalisme, que l’on pourrait appeler le social-capitalisme monétaire).
Il permet de :
- relocaliser ;
- réduire le coût des produits de base (alimentation, faim dans le monde) ;
- il permet de contrecarrer les crises financières futures du monde psychopatique de la finance ;
- le capitaliste ou le financier n’a plus raison de vie ou de mort sur l’emploi ;
- le coût de la vie minimal étant différent d’un pays à l’autre, cela n’affecte plus l’employabilité ;
- le reste dans l’article ;

Il est n’est pas forcément plus vorace que les autres, car il permet de réduire les factures énergétiques en relocalisant, de réhabiliter des zones écologiques détruites par le capitaliste (oui, il serait bien mieux de faire payer le capitaliste, mais quand il a fait faillite, n’est ce pas).

Il existe à priori déjà dans certaines banques.

Il était une banque où on disait : quand le bâtiment va, tout va. Et oui, l’emprunt est le flux monétaire principal. Mais il fallait hacher cet état de fait.

Les européistes s’attendaient à une convergence des salaires minimaux. C’est stupide, car le moins-disant aurait raison. Dès lors l’UE rétablirait l’esclavage (besoins supérieurs à la paye).






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