Commentaire de Elliot
sur Pitié pour Poutou


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Elliot Elliot 10 mars 2017 13:46

J’ai été comme l’auteur particulièrement choqué par les gloussements hystériques de Vanessa Burggraf, incapable pendant de longues minutes de formuler une question simple à Mr Poutou pourtant invité sur le plateau pour donner une vision de la société d’un œil un peu différent de la doxa officielle représentée dans les médias.

Ajoutons le sourire complice et un peu niais de Yann Moix et les trépidations clownesques de Ruquier.

En l’occurrence, en gardant son calme et en adoptant une attitude souriante malgré l’insultante parodie à laquelle il devait participer, c’est finalement lui qui est sorti grandi de cette affaire.

Il faut dire que Madame Burgraff est coutumière de ce genre de palinodies agressives où elle martèle ce qu’elle veut faire passer pour des évidences et qui ne sont que la feuille de route qu’elle est contrainte de respecter pour respecter la pensée dominante dont elle n’est qu’une médiocre porte-parole.

Déjà il y a quelques mois, elle s’était fait remettre à sa place par Jean Luc Mélenchon dont elle moquait le programme en répercutant tous les poncifs dont l’affligeaient ces fameux experts qui, avec la morgue de ceux qui n’arrêtent pas de se tromper et à qui nous devons la crise systémique qui nous accable depuis des décennies, n’arrêtent pourtant pas de condamner du haut de leur médiocrité militante tout ce qui remet en cause la doxa dominante.

S’il y a bien un problème dans l’univers médiatique, c’est que l’audience de ces jean-foutre est directement proportionnelle à la croissance de l’’étalage de leurs erreurs d’analyse. Plus ils se trompent et mieux on les considère.

Au fond la question que veulent imposer tous ces chiens de garde, c’est celle qui consiste à refuser toute légitimité à se présenter à la Présidentielle à ces petits candidats dont le système entrave de toute façon l’élection.
Folleville, amusons-nous entre nous et les lingots continueront d’être bien gardés...


Voir ce commentaire dans son contexte