Commentaire de Kriss
sur Comment fonctionnent les finances publiques, et la dette publique ?


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Kriss (---.---.76.62) 20 avril 2006 23:47

En médecine et plus spécifiquement en psychanalyse, le déni est le refus d’admettre une réalité qui est perçue comme traumatisante. Un des exemples les plus classiques est celui du déni de l’alcoolique qui nie son intoxication. Se développe en réaction au rapport Pébereau entre autre le déni de gravité de la dette. Déni matérialisé par une éclosion de commentaires permettant de défendre le moi du citoyen contribuable épargnant contre l’angoisse provoquée par la découverte ou le rappel de l’énormité de la dette et de la croissance mécanique mais quasi inexorable de son poids pour les prochaines années due à la hausse des taux d’intérêts. Cette littérature plus ou moins compétente et / ou honnête refuse d’admettre la réalité et tente à coup de diverses astuces dialectiques ou carrément d’erreurs crasses à faire croire à l’existence de solutions et mécanismes miracles qui protègeront le citoyen contribuable épargnant du prochain et inéluctable siphonage de son épargne et de ses revenus.


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