Vous n’y êtes pas : alors même que MLP dissertait sur France 2 et faisait remarquer aux journalistes le peu d’importance à ses yeux qui était consacré au cours de cette campagne au sujet de la menace islamiste, au terrorisme, à la question migratoire, se déroulait ce que vous savez. 

Ainsi MLP depuis des mois et sinon des années, et même des décennies si on se réfère aux analyses d’un JMLP avant elle, avaient parfaitement identifié les sujets fondamentaux en mesure d’impacter la vie des Français tôt out tard : l’immigration massive et ses conséquences induites que sont l’islamisation, le communautarisme, et maintenant le terrorisme.

Des analyses inversement proportionnelles au déni de réalité consubstantiel à toute la gauche pseudo-antiraciste, qui n’y voyait là que la résurgence d’une xénophobie consommée, incapable de saisir les bouleversement tectoniques à l’oeuvre, de comprendre que la question de la démographie est première en politique ; et sur la politique et la socio-économie.

Ainsi en réalité, ces faits tragiques, au même titre que la question de l’Union européenne et de l’euro, dont les dirigeants du Front National ont de tout temps été de farouches adversaires (pendant que Mélenchon ratifiait Maastricht), valident en tout point les présupposés et les clefs de compréhension qui ont été développés par MLP.

Ce faisant, pourquoi diable voulez-vous que les individus, les électeurs, les indécis (en particulier), aillent mettre un bulletin dans l’urne pour quelqu’un d’autre que les véritables visionnaires, les maitres en prospective, les grands hommes d’Etat... ? Par bêtise ? Par soumission au politiquement correct ?

C’est malheureusement possible, témoignage politique des trente dernières années faisant foi. Nous rajouterions alors au tragique la bouffonnerie grotesque d’êtres faillis qui ne cessent de voter contre leurs intérêts immédiats, partisans d’un sourde pulsion morbide et suicidaire. 

Le juge de paix est dans 48h.