Commentaire de Elliot
sur La grandiloquence n'est pas l'éloquence
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Mis à part
Mitterrand qui savait certes captiver par le verbe mais ne défendait
aucune cause et en tout cas pas le socialisme dont il se revendiquait, je ne vois en effet pour vous que des raisons de désespérer devant le vide
actuel.
Sauf à ce que vous ne trouviez le merle blanc, celui
qui apprend à se taire parce qu’il n’a rien à dire dans les
rangs de la République en marche ( arrière )...
Il est vrai que l’éloquence réduite au silence n’est guère perceptible à l’oreille de la multitude vile même si elle pourrait trouver grâce à vos yeux, pardon ! vos oreilles affutées.
Mélenchon représente pour vous la quintessence de ce qu’il y a de pire dans cet art que vous appelez oratoire et en plus il défend une cause qui visiblement, ne vous plaisant pas, perd toute noblesse.
Il est vrai que s’inquiéter du sort des humbles, des laissés pour compte, est d’un commun…