Commentaire de Ciriaco
sur « Souviens-toi », ou l'homme à réaction
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Difficile d’entrer dans votre texte. Vous y avez une position très subjective. Et parce que plus vieux certainement, je dirais simplement que l’ironie sur les « paradis perdus » s’accommode très bien du souvenir laissé pour l’âge où le futur se ferme. C’est, pour faire simple et ne pas entrer dans un débat qui nécessiterait un espace plus intime, un marqueur de notre temps.
Plus proche de votre champ lexical et pour réagir à votre dernier paragraphe, le souvenir peut être aussi d’un autre ordre : un devoir, celui de celles et ceux qui, pour rester dans le constat minimal, n’ont vu aucune sorte d’amélioration dans le produit des ventes.