Commentaire de JC_Lavau
sur Relations entre les femmes et les hommes, le discours est une forteresse


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JC_Lavau JC_Lavau 8 décembre 2017 13:12

@JC_Lavau. 

Les plus sçavants piscologues négligent malheureusement l’un des plus lourds fardeaux qui pèsent sur les épaules de ces féministes qui malgré les meilleures mises en garde, persistent à demeurer dans l’hétérosexualité, par exemple parce qu’elles ont provisoirement besoin d’un reproducteur pour s’assurer d’un cheptel de petits : Comment choisir un mâle de façon à pouvoir le mépriser, le dominer et le haïr tout son soûl ?

Vous le choisirez le plus faible et le plus taré possible, d’humeur la plus incompatible. Ensuite c’est au choix, si vous voulez surtout le maltraiter et le mépriser au quotidien, prenez le plus immature et le plus dépendant des hommes. Si vous voulez le haïr au maximum après avoir obtenu de lui une ou plusieurs grossesses, évidemment il sera plus jouissif de le choisir plus viril et plus impulsif.

Ensuite, il vous faut avoir une idée du rythme de votre bascule flip-flop : amour, désamour, amour, désamour, etc. jusqu’au désamour final. Le cas le plus connu est : « Next mood change in six minutes ».

Pour obtenir une grossesse d’un beau viril qui sera ensuite mis à la porte, il vaudrait mieux choisir un rythme sur six mois. Mais êtes-vous maîtresse du rythme de votre flip-flop ? Celui-là demeure un des choix les plus prisés par les vraies féministes : il facilite beaucoup votre propriété privée exclusive sur votre cheptel d’enfants, dont ensuite vous ferez ce qu’il vous plaira.

Alors que si vous vous en tenez sur un flip-flop de période inférieure à la journée ou à l’heure, vous aurez du mal à changer souvent de mâle à maltraiter, il vous faudra rester avec celui qui est assez bonne poire, assez dépendant pour ne pas vous jeter par dessus les moulins. Sinon, les autres mâles que vous tenterez de capturer pour les faire entrer sous votre maltraitance s’apercevront trop vite de votre jeu et se dégageront à temps. Vous voilà condamnée à maltraiter stable, à tenir stables les pires situations sans issue.

Il peut être délicat de choisir le moment où l’on déverse des torrents d’injures à la tête du mâle qui fait un dur chantier chez vous. Si vous êtes trop impulsive, vous déclenchez ça trop tôt, et il rentre immédiatement chez lui en vous laissant sur les bras le chantier inachevé, que vous êtes bien embarrassée pour terminer. Il vaut mieux attendre le moment où il n’a plus guère que ses outils à nettoyer. Comme ça vous jouissez immédiatement de tout le résultat des travaux. De la ruse, que diable ! De la ruse, à la guerre ! Savoir paraître faible quand la force extraordinaire s’approche insoupçonnée, voilà l’art de la guerre qui nous a été enseigné voici déjà vingt-trois siècles. Et comme l’enseignait le maître d’armes à monsieur Jourdain : « Tout l’art des armes en famille consiste à infliger le maximum de coups à son proche, sans s’en ramasser aucun en retour. »

Quand vous êtes féministe, il vous est interdit de former un « nous » de couple hétérosexuel, car l’hétérosexualité est contre nature. Vos seuls « nous » ne sont formés qu’avec votre maman, et vos copines féministes. C’est à elles que vous rendez compte de toutes les avanies que vous faites subir à votre « mec ». Le jeu consiste à s’épater l’une l’autre en racontant le pire qu’on lui aura fait subir. Sinon, elles vous traiteront d’hétéro...


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