@HELIOS

"De nombreux musulmans, en France, ont choisi d’enfouir l’aspect politique de l’Islam et respectent autant que faire se peut, les lois de notre société et c’est tant mieux.« 

Ce cas aussi est prévu par l’Islam. Il divise le monde en domaines. Les deux fondamentaux sont le Dar al-Islam (domaine de la soumission à Dieu), où la charia est appliquée, et le Dar al-Harb (domaine de la Guerre) qu’il faut conquérir et convertir.

D’autres domaines sont venus s’y ajouter, pour ce qui nous concerne, le Dar al-Sohl ( domaine de la conciliation) où l’Islam n’est pas (encore) en position de s’imposer par la force ou par la persuasion douce, étant entendu que l’objectif à terme reste la conquête du territoire et sa conversion.

Alexandre Del Valle rapporte que « Les Frères musulmans, notamment Youssef al-Qardaoui et son disciple Tariq Ramadan, ont également qualifié l’Europe de Dar al-Shahada, « terre du témoignage », en raison de la facilité par laquelle l’islamisme y progresse sans obstacles en vertu d’un prosélytisme permis par la liberté des démocraties.  »

 »Il n’est pas question de penser que ce respect ne puisse etre que provisoire en lien avec les forces sociales... esperons que ce n’est pas le cas."

Malheureusement, il faut bien le penser, puisque c’est ce que prescrivent les écritures saintes de l’Islam.

On pourrait considérer qu’il y a deux Islams dans un pays comme la France, l’un passif, c’est celui de l’épicier tunisiensympa, en bas de chez vous, l’autre actif, pratiqué par ceux qui ne perdent pas de vue l’objectif final qui leur est assigné par Allah.

Naturellement, si on laisse faire, les actifs l’emporteront sur les passifs qui, bien que majoritaires, se retrouveront prisonniers d’une communauté où les majoritaires se surveilleront les uns les autres au profit du pouvoir de la minorité, parce qu’il serait impensable de se liguer contre les guides religieux.

Déjà maintenant, selon les endroits et la concentration de musulmans, il y a des inidividus limite mécréants, qui se plient à certains rites, comme le Ramadan, uniquement en raison du regard que la communauté porte sur eux.