Commentaire de moderatus
sur Des salafistes prennent la clé des champs


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moderatus moderatus 24 mars 2018 11:57

@Ouam

la liste des méfaits de de Marocain qu’on a naturalisé en dépit du bon sens est longue.
Il était en plus c’est exact fiché S pour radicalisation et liens avec des mouvements salafistes fondamentalistes.

Mais je pense que nos dirigeants et politiques qui ont copiné avec les salafistes ne voient pas le danger de cette idéologie

une étude du figaro qui est pourtant explicite

Le salafisme est-il compatible avec la République ?


Les salafistes sont contre la mixité, ils rejettent les minorités religieuses et sexuelles, encouragent le communautarisme, ne reconnaissent pas les valeurs de fraternité en dehors de l’oumma (la nation islamique) et refusent toutes les notions de liberté qui contredisent leur vision de l’islam. Les textes salafistes montrent l’étendue qui sépare cette idéologie totalitaire des principes républicains. Ainsi, le cheikh Otheimine, par exemple, appelle-t-il les femmes musulmanes à ne quitter leur domicile qu’en cas de nécessité et qu’avec « l’autorisation du mari ou du tuteur ». Il précise : « La femme est libre chez elle, elle se rend dans toutes les pièces de la maison et travaille en accomplissant les tâches ménagères. » Et d’ajouter à leur intention : « Que ces femmes craignent Allah et délaissent les propagandes occidentales corruptrices ! » Un autre cheikh, Salih bin Fawzan al-Fawzan, défenseur du voile intégral, affirmait dans l’une de ses fatwas que « le visage de la femme est une awrah (partie à dissimuler) et qu’il est obligatoire de le couvrir ». Pour lui, « c’est la partie la plus forte en tentation ». Et il en va de même pour d’autres principes fondamentaux qui forgent l’identité républicaine et laïque de la France. Le salafisme, par exemple, n’accepte pas la liberté de conscience. S’il cherche à endoctriner et à convertir des non-musulmans, il refuse catégoriquement qu’un musulman puisse renier l’islam pour une autre religion. L’auteur d’une telle apostasie doit être, selon eux, condamné à mort. De même que la liberté d’expression et d’opinion, la critique des dogmes et des religions est prohibée.



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