Commentaire de Massada
sur Des salafistes prennent la clé des champs
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On nous dit que l’Etat Islamique est en voie de disparition, mais plusieurs indices appellent à la prudence
Les réformes du Prince Salman en Arabie saoudite - qui, à tout moment peuvent provoquer, par effet boomerang, une vague de terrorisme d’extrémistes mécontents de voir le pays évoluer vers la modernité.
Il y a l’Egypte où l’Etat a virtuellement perdu le contrôle de la vaste péninsule du Sinaï.
Il y a la Libye où l’on n’entrevoit toujours pas de sortie de crise.
Il y a le Sahel dans une guerre presque oubliée et qui n’empêche pas les groupes djihadistes d’étendre leur influence et leurs actions hors des frontières du Mali et du Niger.
Il y a l’Egypte où l’Etat a virtuellement perdu le contrôle de la vaste péninsule du Sinaï.
Il y a la Libye où l’on n’entrevoit toujours pas de sortie de crise.
Il y a le Sahel dans une guerre presque oubliée et qui n’empêche pas les groupes djihadistes d’étendre leur influence et leurs actions hors des frontières du Mali et du Niger.
Il y a le Pakistan et l’Afghanistan où, après plus de 16 ans de guerre la menace talibane et celle d’Al-Qaïda se voient aujourd’hui renforcée.
Il y a, au Nigéria, Boko Haram qui ne se porte pas si mal.
Boko Haram qui opère désormais au Tchad, et vise plusieurs pays d’Afrique de l’ouest.
Il y a le Hamas, le Djihad Islamique Palestinien, les Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa (appartenant au Fatah de Mahmoud Abbas) : ces mouvements terroristes palestiniens les plus actifs sont tous liés au fondamentalisme islamique le plus virulent.
Enfin en Europe il y a le salafisme qui progresse sans cesse avec pour moteur la haines des non musulmans : athées, juifs, chrétiens, la haine de l’occident, de l’Amérique et d’Israel.