Une pensée qui fait un désert de la dialectique, un mal politique caractéristique de l’enracinement de la subjectivité dans le radical - un des prérequis de toute politique, c’est de savoir répondre en conscience à ce qu’est la volonté d’organisation de la liberté de l’autre (une question déjà largement hors champs de l’extrême droite).

C’est une question délicate et complexe, évidemment écrasée par le totum spécifique au cercle vicieux inhérent à ces propos, extrêmement mal menée par des intérêts politiques qui se construisent uniquement à la manière dont ils s’opposent, et sociologiquement très alimentée par une société tribalisée sur laquelle s’articulent des marchés de l’information qui n’en ont que faire.

Vous retrouverez cette constante chez le rappeur qui mène votre danse ; une société habitée de haine, de réactions, de vengeance... et de toutes ces sortes de sentiments dont il serait bien plus intéressant d’en voir les causes, en guise de responsabilité individuelle et politique.