Commentaire de JL
sur Le supplice de la Grèce et des nationaux européens (fin de la crise grecque ?)
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suite : dès lors, on ne voit pas où, l’État aurait pu être une instance de répression d’un système qu’il a lui-même sécrété. Je n’y vois au pire, qu’une volonté de contrôle, de régulation de ces excès récurrents qui conduisaient les nations à se faire des guerres destructrices. Tu parles d’une répression !
Cloustard écrit : ’’Pour faire pièce au progressisme issu de la Résistance, écouler les surplus, il s’agissait pour le capitalisme, avec le Plan Marshall, de créer un modèle « permissif pour le consommateur », mais toujours aussi « répressif envers le producteur ’’
Bigre ! Répressif envers les producteurs ? C’est comme cela que les capitalistes voient la soial-démocratie ? M’étonne pas ! C’est pour cela qu’à l’inverse, dans le tournant des années 80, le néo-libéralisme a pris partout une direction ’opposée ? Même etsurtout dans les pays anglo-saxon, pas réputés pour faire dans le social ! Direction opposée du genre : « Tout est permis pour les producteurs » ?
Un excès qu’on veut fuir fait passer à l’excès opposé, et ce n’est
qu’après avoir été d’une extrémité à l’autre que l’on revient au milieu. Citation de Cécile Fée ; Les maximes et pensées (1832)