Commentaire de Christian Labrune
sur Le philosophe le plus dangereux de l'histoire
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J’ai dans un coin de ma bibliothèque la plupart des oeuvres de Schopenhauer ; je suis loin d’avoir tout lu et il y a plus de vingt ans que je ne les ai pas ouvertes, mais je suis encore vivant et j’ai toujours trouvé qu’un certain pessimisme de cet auteur était un souverain remède contre toute forme de mélancolie : le monde est un sacré merdier, et l’homme la pire des sales bêtes. Quand on a compris ça, on va tout de suite mieux.
Votre article me donne très envie de passer une heure ou deux à relire Schopenhauer en fumant des cigares. Cela me paraît tout de même moins dangereux que le saut à l’élastique !