Commentaire de marmor
sur Premier... il sera le dernier
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
En 1979, il est condamné à une amende de trois millions de francs de l’époque122 et à un an de prison avec sursis pour évasion fiscale. Contrarié par cette décision de justice, il publie dans la presse un poème sous forme de lettre ouverte au président de la République Valéry Giscard d’Estaing : « Pour avoir servi ma patrie et ma culture, dix millions et un an de prison »123.
En 1980, Jean Cabouat, le doyen des juges d’instruction de Versailles, signe l’ordonnance de non-lieu concernant le dossier de fraude fiscale visant Charles Aznavour. Cette décision met un terme définitif aux démêlés de Charles Aznavour avec la Justice française124.
Messieurs les censeurs, les personnes visées par le fisc sont détestables aux yeux des bien pensants, mais l’administration se trompe souvent, je le sais d’expérience, mais on est marqué au fer rouge pour l’éternité