@ benito merle-huchon

Ah, le mystère alinea... Pour elle, la gauche se résume à la promesse du Grand Soir, l’orgasme collectif, the big one, qui doit venir et qui vient jamais. C’est son côté Zangra, à l’amie des chevaux.

Alors que la gauche, c’est la lutte des classes qui découle de l’interêt de classe. Et donc, elle fricote avec Mélenchon, le promoteur du ’faire la poche des riches’, qui est quasi soumis à l’ISF (il est à la lisière), qui est riche lui-même !
Qu’est-ce que l’impôt sur les grosses fortunes ? Il est payé par 342 972 Français = les 0,5 % de Français les plus riches ! La majorité es foyers assujetis à l’ISF se trouvent chez le petit peuple de Paris, Neuilly, Lyon !
Rien ne l’empêche de se faire les poches tout seul, celui-là, s’il trouve que l’argent c’est le diable ; rien ne l’empêche de s’attifer d’un pagne et d’aller se planter à un carrefour avec une chèvre et un rouet (bon, Gandhi l’a déjà faite celle-là mais Mélenchon pourrait rester à demeure en slip et veste de couvreur réglementaire sur le Vieux Port avec un bol de quinoa et sans cravate).

Ah, et Michea...

’Prônant des valeurs morales proches du socialisme de George Orwell, Jean-Claude Michéa fustige l’intelligentsia de gauche qui s’est selon lui éloignée du monde prolétarien et populaire. Il défend des valeurs morales collectives dans une société de plus en plus individualiste et libérale.’

Le bon bourgeois, bien paternaliste, qui s’est acheté sa demeure par la banque manque une bonne occasion de mettre en pratique sa morale collective ; c’est que de façon pas du tout individualiste il est occupé à des choses bien plus sérieuses, couper son bois en prévision de l’hiver.

Et qui c’est qui se va se peler les miches cet hiver ? Ben, le peuple qui lui était occupé à tout autre chose.