@Gauloise très réfractaire

Ce qui est très drôle — façon de parler, parce qu’en fait, c’est tragique !— c’est qu’il y a quelques semaines, quand il était encore en pleine illusions égotiste, notre Macron s’était déclaré l’ennemi de ceux qui, comme Salvini, prétendaient contrôler les frontières. « Le nationalisme, c’est la guerre », disait-il, comme si on était encore à la fin des années 40.

Eh bien, après les gilets jaunes et les scènes d’insurrection sur les Champs Elysées, après Strasbourg, s’il n’a pas encore compris que la négation de la nation conduit tout droit à la guerre civile, c’est qu’il lui manque quelque chose entre les oreilles.

J’ajouterai que la pire des guerres, selon l’avis de tous les penseurs du politique depuis les Grecs, c’est bien la guerre civile, et c’est celle que Macron est en train de nous préparer. Elle a déjà commencé.