@Gauloise très réfractaire

Nous sommes ,quand le dis nous , je parle des gouvernants qui sont dans le compromis et la compromission responsables de cette situation.

Il est obligatoire qu’avec cette attitude de soumission , des mouvements radicaux prospèrent et enrôlent de plus en plus de monde. Les minorités actives ont plus de pouvoir que les majorités silencieuses.

Voila les questions que l’on peut se poser et que pose un intervenant sur les réseaux sociaux.

« Est-il normal que le terroriste islamiste Salah Abdeslam vive à nos frais dans sa cellule, insultant en permanence ses gardiens alors qu’il refuse de parler à ses juges ? Serait-il si choquant de rétablir la peine de mort ? Serait-il scandaleux de restaurer la relégation dans la lointaine Guyane pour les récidivistes impénitents ou les djihadistes ? Serait-il inacceptable d’appliquer réellement les peines prononcées et de prévoir de très longues détentions pour les récidivistes, en partie financées par un travail obligatoire ? Serait-il injuste de priver de sa nationalité française un immigré qui en possède une autre et qui a commis un crime, voire un délit, ou bien encore qui est fiché « S » pour radicalisation islamiste ? Serait-il insupportable qu’on l’expulse de notre pays  ? Toutes ces mesures seraient de bon sens parce qu’elle viseraient l’intérêt supérieur de la France et le bien commun des Français au lieu d’obéir à une idéologie suicidaire. »

Doit on continuer à composer avec des mouvement radicaux mortifères qui sont un poison pour la cohésion nationale ?

Si la réponse est non, et celle des Français dans leur immense majorité est non, une seule solution

trouver le moyen d’exiger de nos gouvernants les mesures de bon sens qui s’imposent.

La convention Européenne des droits de l’homme nous lie les mains,

il faut s’asseoir dessus.