Commentaire de Samson
sur Macron ou la Méprise Cyanoacrylate
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J’ai bien ri, ce qui fait du bien par ces temps de disette !
Hé oui ! Gonflé de suffisance bling-bling, le très vulgaire agité du bocal — qui n’a durant son éphémère « République des Copains » rien moins qu’ambitionné en 2008 de « refonder » le capitalisme — me faisait déjà l’effet d’un fameux pervers narcissique.
Et si l’improbable livreur des pizzas de ces dames - auto-proclamé « ennemi de la finance » et propulsé candidat suite au dérapage incontrôlé du favori « $ocialiste » sur une moquette de Sofitel - semblait plutôt relever de la catégorie, bien plus fréquente, des pervers pèpère, sa précaution de déléguer à son âme damnée, Manu le Fourbe, le soin de convertir aux normes « novlangue » de la Pensée Unique néo-libérale les concepts sulfureux de « $ocialisme », de « gauche » et de « progressisme », n’a pas suffi à convaincre le pigeon de le plébisciter une seconde fois. Il ne semble toujours pas avoir compris pourquoi !
Mais en matière de perversion narcissique et manipulatrice, le sommet hexagonal a manifestement été atteint, en premier de cordée, par le très immature giton de Rothschild, qui après son trop grisant succès se voit maintenant contraint à « redescendre », au risque sinon que des gilets jaunes encordés bien malgré eux ne le fassent définitivement décramponner et dévisser !
Du petit « Monarc » de la start-up « France », on notera le flair indubitablement prémonitoire :
« Certains prédisent le pire. Il ne faut jamais céder aux Cassandre.«
»S’ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu’ils viennent me chercher. Je réponds au peuple français.«
Bingo !
Et pour modeste contribution à son vaste répertoire littéraire, je suggère ce vers de l’Enéide :
»Quos vult perdere Juppiter dementat"
(Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre !)