Commentaire de njama
sur Effet paradoxal du vaccin anti-hépatite B : augmentation du nombre de cancer du foie après vaccination. Recul de 25 ans


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njama njama 28 décembre 2018 10:58

@Galilée
A propos du vaccin contre l’hépatite B, Bernard Guennebaud *, auteur des 2 articles écrit dans son commentaire du 22 décembre 2018 à 22 h 45 min (2° article) :

Sur le même thème voici un extrait de la « Note pour Monsieur le Secrétaire d’Etat à la Santé » transmise par l’Agence du Médicament le 21/09/98 et ayant pour objet : » Vaccins contre l’hépatite B – compte-rendu de la réunion internationale » tenue le même jour à cette Agence.

« on ne peut pas exclure que la vaccination hépatite B puisse révéler ou faciliter le développement de ces affections démyélinisantes chez certains vaccinés. En effet, les trois études réalisées peuvent être considérées comme traduisant une telle tendance. »

« Pour ce qui concerne les actions de santé publique à mener, deux positions ont été exprimées  :
1- la première émanant du responsable du programme de vaccination contre l’hépatite B de l’OMS (le dr M. Kane) visant à surtout ne rien modifier à la politique vaccinale pour éviter de mettre en péril la campagne de vaccination universelle.
2- la seconde proposition plus consensuelle a été de réévaluer le rapport bénéfices-risques en prenant en compte dans les différents pays à la fois l’épidémiologie de l’hépatite B et la politique vaccinale nationale. »

La position de l’OMS rapportée dans ce compte-rendu montre clairement que le problème n’est pas de savoir si la vaccination hépatite B pourrait favoriser les atteintes démyélinisantes mais de tout faire pour que les populations et leurs médecins ne se doutent de rien et donc de ne rien faire qui puisse leur mettre la puce à l’oreille. Cela correspond tout à fait à ce que nous observons aujourd’hui pour les vaccins devenus obligatoires . Ce fut ainsi dans le passé pour la vaccination antivariolique, le BCG, la tuberculine etc

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* Bernard Guennebaud, mathématicien, représente sûrement le scientifique français le plus au fait s’agissant de la saga de la vaccination anti-tuberculeuse, sûrement parce qu’encore adolescent il a subi les conséquences très néfastes d’un invraisemblable surdosage en tuberculine qu’il a en partie raconté dans son livre (*).


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