Commentaire de JL
sur Venezuela : le libérateur et le dictateur
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@machin
Vous dites de spartacus : ’’C’est impossible, humainement d’avoir, gratuitement, l’esprit aussi
pourri, quel qu’en soit le salaire à moins, bien évidement, d’être
sinistrement aliéné et/ou d’avoir l’âme d’un bourreau.’’
La bêtise insiste toujours ; les imbéciles sont redoutables.