Commentaire de Garibaldi2
sur Venezuela : le libérateur et le dictateur


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Garibaldi2 28 janvier 2019 14:01

@Spartacus

Couturier ... son bouquin a été publié en 2008 (!) :

’’Amérique Latine, 2007. Après une époque de transition, Hugo Chavez, président du Venezuela, veut donner corps à ses idéaux révolutionnaires et assurer l’avènement de son « Socialisme du XXIe siècle ». Entorses aux principes démocratiques, étatisation de l’économie, bolchevisation de la société, formation d’un nouveau type de citoyens, contrôle voire censure de certains médias rapprochent alors le pays des systèmes politiques les plus rigides. Des flirts dangereux qui se donnaient déjà à lire dans la proximité entretenue entre Chavez avec d’autres dirigeants, qu’il s’agisse de Castro ou d’Ahmadinejad. 2007. Une année pas tout à fait comme les autres pour tout un peuple sous influence prêt à basculer dans le totalitarisme, et douze mois d’une actualité politique décryptée par Alain Couturier, témoin direct des soubresauts du Venezuela.

Lire ces chroniques de la vie politique vénézuélienne, c’est bien sûr prendre le pouls, quasiment au jour le jour, d’un pays. Toutefois, au-delà de l’analyse de l’actualité, des discours, de l’omniprésence d’un homme politique, cet essai anatomise avec clarté une démocratie fascinée qui vacille et penche dangereusement vers le totalitarisme. Du cas particulier émerge ainsi un ouvrage aux dimensions plus universelles, véritable grille de lecture des dérives de certains systèmes politiques.’’

https://www.amazon.fr/s/?ie=UTF8&keywords=alain+couturier&tag=hydfrmsn-21&index=stripbooks&hvadid=80195661676191&hvqmt=e&hvbmt=be&hvdev=c&ref=pd_sl_5snen4n6o2_e

Faut-il rappeler que Chavez a été réélu président de la république en octobre 2012 avec 55,07% des voix lors d’un vote démocratique surveillé par des observateurs étrangers et la Fondation Carter (Carter Center).

En avril 2013, Nicols Maduro est élu président de la république avec 50,6% des voix face à Henrique Capriles lors d’un vote démocratique également surveillé par des observateurs étrangers et la Fondation Carter (Carter Center).


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