Commentaire de McGurk
sur Venezuela : le libérateur et le dictateur
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@L’enfoiré
Ouais vive l’Etat policier où chaque chose qu’on met est sous-pesée, analysée, identifiée. Franchement ça fait peur et votre raisonnement encore plus.
D’autant qu’ils ont la mauvaise manie — au pouvoir, dans les entreprises et syndicats — de vouloir étiqueter tous les candidats et surtout les ennemis « qui ne pensent pas comme ils voudraient qu’ils pensent ».
A part sur des sites bien précis où c’est déjà le cas, cette mesure est aussi excessive que grotesque. Bientôt, on devra pointer lorsqu’on sortira de chez soi ou de la boulangerie.
Dé-bile.